lundi 8 février 1999
La vente ne se fait pas
Nous sommes réveillés de bonne heure par le père de Maïssata qui est venu avec son garagiste. Ce dernier lui déconseille d’acheter le minibus car il ne lui parait pas adapté aux pistes de la région. Il n’a pas vraiment tort. Bien qu’elle n’y soit pour rien, Maïssata s’en veut un peu de nous avoir fait espérer. Nous lui faisons nos adieux. Nous décidons de retourner à la villa sur la route d’Orodara que les savoyards avaient louée lors de leur dernier passage à Bobo. Nous mangeons un poulet dans un resto près de la voie ferrée. Pour récupérer de la dernière nuit, nous faisons une bonne sieste puis un Scrabble au calme. Nous nettoyons le minibus qui en avait bien besoin. Puis, nous passons à la gare routière pour que je réserve une place dans le bus de Ouaga pour demain. Nous allons dîner à l’Entente Plus où nous avons rendez-vous avec un autre acheteur potentiel. Avant de m’endormir, je pose ma moustiquaire par précaution. Je crois que j’ai bien fait.
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